• L’ancien chancelier Helmut Schmidt craint que l’Europe ne soit au bord de la révolution



    Double sensation devant les 600 invités du forum du magazine allemand “Die Zeit”. 
    L’ancien chancelier Helmut Schmidt craint que l’Europe ne soit au bord de la révolution. Le vice président de la Deutsche Bank avoue que les profits bancaires sont économiquement insensés.

    La dernière livraison de la Lettre d’information suisse “Horizons et Débats” (N°48, 19 novembre 2012) vient de révéler un événement qui a fait sensation à Hambourg mais sur laquelle l’ensemble des médias français ont gardé le silence.

    Le mercredi 7 novembre, lors du forum économique de l’hebdomadaire de Hambourg Die Zeit, l’ancien chancelier Helmut Schmidt a déclaré, devant 600 invités de l’économie et de la politique, qu’avec la crise de surendettement en arrière-plan, il n’est pas impensable qu’il y aura de profonds changements politiques et économiques. Et cet homme, pourtant ultra-européiste, qui dirigea l’Allemagne à la même époque que Valéry Giscard d’Estaing dirigeait la France, a alors mis en garde : 

    « Nous nous trouvons à la veille d’une possible révolution en Europe. »

    Il fonde cette prévision sur le constat que la confiance dans les institutions européennes a diminué dans toute l’Europe. Pour la Deustche Bank elle-même, les bénéfices des banques sont « économiquement insensés » Au cours du même forum, le vice-directeur de la Deutsche Bank, Jürgen Fitschen, s’est montré autocritique et a qualifié la maximalisation à court terme des bénéfices des instituts bancaires d’« économiquement insensé ». Et d’ajouter : « Elle ne devrait plus avoir lieu, elle nous nuit à long-terme ».

    Quant au ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble, pourtant ultra-européiste, il n’a pas fait mystère de ses doutes, pour ne pas dire de son pessimisme, au sujet de la lutte contre la crise de l’endettement. De façon globale ? « Nous pouvons y arriver…» a-t-il seulement lancé. Et sur la Grèce ? « Nous n’avons pas encore passé le cap….» Voilà quand même un bilan bien mince après deux ans passés à expliquer que le “énième sommet de la dernière chance” avait tout réglé.

    COMMENTAIRES

    La vérité est que la situation est catastrophique, et même pré-révolutionnaire pour parler comme l’ancien Chancelier d’Allemagne Helmut Schmidt. Les responsables du monde politique et économique allemand le disent. Alors que leurs homologues français continuent à prendre leurs compatriotes pour des imbéciles.


     


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  • Mosab Hassan Yousef, « fils du Hamas » ex-agent du Shin Beth, à propos du cessez-le-feu

    Hamass

    Mosab Hassan Yousef, fils d’un des fondateurs de l’organisation terroriste Hamas et auteur du livre « Fils du Hamas », a déclaré vendredi qu’Israël a fait une erreur en acceptant un cessez-le-feu avec les dirigeants terroristes de Gaza.

    Yousef a passé un certain nombre d’années à l’étranger après une décennie où il a risqué sa vie en travaillant comme agent d’infiltration pour l’agence de sécurité israélienne, le Shin Beth. Son nom de code pendant cette période était « Le Prince Vert ».

    « Ce qui est important est qu’en ce moment il y a un cessez-le-feu et je pense que nous avons besoin de regarder les faits et digérer tout ce qui s’est passé », a déclaré Yousef à Canal 2 News d’Israël lors d’une interview spéciale. 

    « Je pense que le Shin Beth a fait de son mieux », a-t-il ajouté. « N’oublions pas que notre ennemi est un barbare qui utilise des femmes et des enfants comme boucliers humains et dans ces situations nous sommes très limités, parce que nous nous soucions des vies des citoyens innocents ».

    Interrogé sur la possibilité d’une opération terrestre israélienne à Gaza, Yousef a répondu que « peut-être que ce n’était pas le meilleur moment pour une action de ce genre – mais je suis sûr que c’est une possibilité qu’Israël envisage à l’avenir ».

    « Israël ne devrait pas réoccuper Gaza, mais je pense qu’il a la capacité de surveiller les frontières par lesquelles le Hamas transfère des armes », a déclaré Yousef, en ajoutant qu’il pense qu’il pourrait y avoir une autre vague de violence entre les deux parties. « Aujourd’hui, nous savons qu’ils ont plus que jamais de plus grandes capacités. Je suis sûr que cela va nous permettre de préparer l’avenir », a-t-il dit.

    S’exprimant à propos d’une éventuelle possibilité qu’Israël travaille au renversement du régime du Hamas à Gaza, l’ancien agent du Shin Beth a déclaré : « Cette opération est nécessaire, mais nous avons à travailler rigoureusement pour cela. C’est nécessaire non seulement pour Israël – mais également pour l’humanité. Le Hamas est né pour détruire. Il ne peut pas construire ».

    « J’ai peine à croire que le Hamas puisse un jour construire un État moderne », a déclaré Yousef. « J’espère que leurs mensonges seront expliqués au peuple palestinien ».

    Il a félicité l’État d’Israël, en disant qu’ « Israël aide le peuple palestinien plus que n’importe qui d’autre : chaque jour il fournit l’électricité et même les salaires versés aux employés proviennent des banques israéliennes. Il y a également l’aide humanitaire qui entre dans la bande de Gaza ».

    Pour finir, il se tourna vers son père, Hassan Yousef, et d’autres dirigeants du Hamas et a dit, « Je veux dire aux membres de l’organisation, y compris à mon père, qui écoutent cette interview – les braves gens ne se cachent pas derrière les enfants pour tirer des missiles. S’ils avaient encore un peu de courage – ils seraient capables de quitter Gaza au lieu de se cacher comme des rats ».

    Source : Israël Chronique en ligne.

    Mosab Hassan Yousef, fils d’un des fondateurs du Hamas et ancien agent du Shin Beth. Par Elad Benari, Canada – Adaptation française : Hanna © Israel-Chroniques-En-Ligne

    N'est-il pas curieux que lorsque le Hamas bombarde (depuis 2007) le sud d'Israël, personne ne réagit et on n'en parle pas dans la presse. Déjà 800 roquettes rien pour l'année 2012 (avant l'élimination de Ahmed Jabari). Les juifs sont juste bons pour souffrir ou mourir et de préférence en silence. Mais dès qu'Israël réplique et taille des croupières à ses ennemis, la presse de la terre entière se réveille, l'ONU condamne et tout le monde "travaille" à une solution. Quelle hypocrisie !

    Quiconque a pu suivre ces derniers jours l’actualité de ce qui a contraint, une fois encore, Israël à intervenir contre les groupes nazislamistes à Gaza, a pu se rendre compte, jusqu’à la nausée et l’écœurement, à quel point en France les chaînes télévisuelles et radiophoniques françaises, ainsi que les médias écrits, mais aussi les partis politiques, comme lors des conflits précédents, de quelle manière s’est effectué le traitement de cette actualité.

    Une fois de plus, nous avons pu constater comment ces médias, comme dans une seconde nature, s’appliquent à minimiser la responsabilité des groupes islamistes et à majorer celle d’Israël, en déformant, en travestissant, en établissant de fausses symétries, en inventant, en occultant, en inversant, en niant ou en refusant de voir certains les faits dans leur réalité, et ce, pour conditionner délibérément l’opinion publique pour la conduire dans l’erreur, pour l’égarer dans son jugement en la privant de sa liberté de conscience et pour la conditionner dans la haine des Juifs.

    Nous constatons, cette fois encore, à l’occasion de ce conflit, une étrange convergence transidéologique pour condamner systématiquement et méthodiquement Israël ou pour faire silence quand des Juifs en Israël font l’objet de bombardements répétés, intensifs et délibérés sur les zones civiles !

    A se demander jusqu’à quel point de perversion ces médias sont capables de travestir la réalité dans le but de nuire à Israël en particulier, et par voie de conséquence aux Juifs en général !

    Tijl

    A propos du Cessez-le-feu, par Mosab Hassan Youcef

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  • Les heures qui viennent vont être déterminantes pour Israël, dont les civils vivent depuis plusieurs années sous les tirs de ceux que la presse francophone qualifie de "militants".

     

    Gaza et La virginité du Hamas

     

    Ce samedi, une cinquantaine d’associations pro-Hamas ont défilé dans les rues de France pour soutenir leurs amis dans le besoin.

    Il faut noter cependant que le Hamas en particulier et que Gaza en général ne sont pas si sans défense que cela. Cela fait des années qu’ils entreposent des armes perfectionnées reçues d’Iran et d'autres factions par la frontière avec l’Égypte.

    Ces armes passent par les tunnels de contrebande utilisés également pour importer des voitures de luxe, au grand dam des concessionnaires légaux qui voient leurs chiffres d’affaires s’effondrer.

    L’internationale n’est pas le genre humain

    Il est piquant de constater que les organisations qui ont appelé à manifester ce samedi sont également celles qui prétendent militer contre le grand patronat, le capitalisme effréné, les milieux d’affaires, etc...

    Or, le Hamas présente toutes les caractéristiques d’une oligarchie richissime qui exploite sans vergogne la misère de ses concitoyens.

    Les dirigeants du Hamas vivent dans un luxe ostentatoire et composent la totalité des nouveaux riches de Gaza. Leurs enfants sont envoyés dans les meilleures universités à l’étranger.

    Lorsqu’ils étudient le Coran à l’université islamique, ils ont à leur disposition piscines et clubs hippiques.

    Leurs épouses hantent les centres commerciaux dont celui d’Al Andalousia sur la place Haidar Abdel Shafi.

    Dans ses 3.000 mètres carrés et sur trois niveaux, il bénéficie d'escalators, d’un atrium, de jets d’eau et de l’air conditionné. On y trouve des vêtements de marque, des cosmétiques, des fournitures de bureau, des jouets, des chaussures, des restaurants, des jeux d'arcades et même un cinéma.

    Dans le même temps, selon le Programme Alimentaire Mondial (PAM), le nombre de familles gagnant moins de 1,2 dollar par jour est passé de 55 % à 70 %.

    Les enfants issus de cette population sont envoyés creuser les tunnels pour le compte des familles régnantes du Hamas et, pour le cas présent, utilisés comme boucliers humains  par les islamistes.

    Le Hamas n’a aucun intérêt à favoriser l’ouverture de sa frontière avec l’Égypte car un commerce légal avec le pays voisin, dirigé maintenant par la même mouvance idéologique, ruinerait la plupart de ses cadres dirigeants.

    Sharia mal tempérée

    Ces organisations françaises qui militent aujourd’hui contre l’intervention israélienne agissent en France contre l’homophobie et ont pris des positions radicales en faveur du mariage pour tous.

    Curieusement, ils se soucient fort peu du sort des homosexuels dans la bande de Gaza, où ceux-ci sont exécutés sommairement, et en public, c'est plus drôle.

    Ils sont souvent, et préalablement, torturés voire violés dans les geôles du mouvement islamiste avant leur mise à mort.

    Selon Human Rights Watch, le gouvernement du Hamas de Gaza a « intensifié ses efforts pour islamiser Gaza» qui ont été qualifiés par cette organisation de « répression de la société civile » et « de graves violations de la liberté individuelle ».

    Le Hamas a imposé des règles strictes aux femmes, opprimé les minorités, imposé la sharia et déployé la police religieuse pour faire respecter ces lois.

    Les femmes ne peuvent se baigner, ni découvrir leurs cheveux sous peine d’amende et parfois de brutalités.

    Dans un rapport de 2009, le Centre palestinien pour les droits de l'Homme dénonce les violations permanentes des droits de l'Homme dans la bande de Gaza et parle de « violations criminelles quotidiennes » dont la liberté de la presse.

    C'est ainsi qu'il peut retenir en toute illégalité 22 journalistes et les utiliser comme bouclier humain sans s'attirer les foudres de la presse bien-pensante. Il a muselé la presse locale, persécutant les journalistes du cru, et n'a jamais reçu la moindre observation à ce sujet. Perseverare diabolicum, il est vrai, mais ça paye parfois.

    C’est ce mouvement qui est défendu par les manifestants français, lesquels n’ont pas trouvé le temps de manifester contre le régime syrien depuis que celui-ci massacre son peuple y compris les palestiniens des camps en Syrie.

    Les analyses crapuleuses

    Depuis quelques jours, l’opération « pilier de défense » a été qualifiée par la plupart de nos commentateurs de manœuvre politicienne en vue des élections anticipées en Israël.

    Du Nouvel Obs à France Inter en passant par LCI et Libé, tous ces bons esprits dénoncent la fuite en avant de Netanyahu, coupable uniquement, selon eux, de vouloir préparer sa nouvelle majorité.

    Ces pauvres hères apportent ainsi la preuve de leur profonde méconnaissance du dossier israélo-palestinien.

    Car premièrement, la gauche israélienne ne pourrait, pas plus que la droite, supporter de telles atteintes à sa population civile sans réagir.

    Elle a d’ailleurs montré, dans un passé récent, qu’elle pouvait, elle aussi, entamer des guerres et réagir à toutes les agressions extérieures, comme celle du Hezbollah à l’été 2006.

    Elle n’est du reste pas la seule dans ce cas.

    Si une enclave ou une principauté bombardait quotidiennement l’Île-de-France ou la Vallée du Rhône, n’importe quel gouvernement français prendrait des mesures appropriées.

    Et, tout en regrettant les dégâts collatéraux, la population approuverait massivement.

    Si nos syndicalistes et membres d’EELC, PCF et consorts qui foulent le pavé aux cris de « Halte à l'agression » voyaient leurs maisons menacées par des tirs de roquettes, leurs enfants obligés de se coucher sous leur table à l’école en hurlant de terreur, nul doute qu’ils exigeraient que l’on élimine ces lanceurs de missiles.

    Ensuite, selon les derniers sondages, Netanyahu dispose, avec les accords entre partis, d’une majorité confortable pour gouverner à nouveau le pays.

    Il n’a donc pas besoin d’une intervention armée pour emporter les élections.

    IGV ou Indignation à Géométrie Variable

    Parmi les organisations signataires de l’appel à manifester contre ce qu’ils appellent l’agression israélienne, se trouvent les travailleurs tunisiens, marocains, algériens, les mêmes qui militaient contre les dictatures violentes et qui voyaient d’un bon œil une intervention armée contre leurs régimes sanguinaires lors des « printemps » arabes.

    Avec ces manifestations françaises, le PCF, EELV, NPA, MRAP et consorts redonnent une légitimité au Hamas, ce mouvement qui se situe aux antipodes des aspirations des populations arabes, celles qui ont renversé leurs régimes respectifs avant d’être noyées dans l’islamisme le plus rétrograde.

    Mais le Hamas a deux autres raisons pour provoquer l’affrontement.

    Les observateurs les plus obtus n’ont pu manquer de remarquer que la fréquence des tirs de missiles contre les civils israéliens a considérablement augmenté dès le lendemain de la visite du Qatar et ses fastueuses prodigalités.

    (A propos: le chèque du Qatar au Hamas en octobre dernier est moins important que ce qu’il a investi dans le football européen, notamment le PSG. Il serait bon de s’en souvenir).

    C’est que le Hamas a besoin de se refaire une virginité à propos du conflit syrien.

    Car celui-ci a profondément divisé le mouvement islamiste. Des combattants palestiniens s’affrontent également en Syrie, certains étant pro-Hassad, d’autres ayant résolument pris le parti des rebelles.

    Khaled Meshaal, chef du Hamas et hôte du régime Assad durant de longues années, est parti, la queue entre les jambes après avoir volontiers profité des largesses de la dictature alaouite.

    Cette profonde division entre palestiniens commençait à fissurer l’unanimité de facade de ce peuple, qui vient de prouver, une fois de plus, qu’il n’en est pas un.

    La deuxième raison, non relevée par les grands experts de nos médias, est la suivante: les régimes autoritaires arabes ont besoin d'un peuple palestinien "souffrant" pour détourner l'attention sur leurs propres manquements à la démocratie. Vieille technique utilisée depuis des décennies.

    Peinant à recoller les morceaux, le Hamas, avec cynisme et en totale collusion avec les dirigeants arabes, a donc décidé de ressouder les Palestiniens en sacrifiant sa population en déclenchant un conflit avec l’ennemi de toujours: Israël.

    Le Hezbollah et son allié indéfectible, le régime syrien, à la veille d’être mis en cause par la justice internationale dans le procès Hariri, avaient usé du même stratagème en déclenchant les combats de l’été 2006.

    Ce sont ces gens-là, ces régimes sanguinaires qu’EELV, le PCF et autres nostalgiques des dictatures ont choisi de soutenir en manifestant ce samedi.

    Les marches françaises de protestation n’ont pas mobilisé beaucoup de militants.

    Le gros de leurs troupes défilaient contre l’aéroport de Nantes. Quand on ne représente que 2 % du corps électoral, il faut savoir choisir ses priorités.

    Mais elles n'en restent pas moins inquiétantes pour l'avenir du débat démocratique en France.

    Pierre Lefebvre

    http://www.primo-info.eu/

    Je sais qu'on parle encore de la France, mais les situations en Belgique francophone sont quasi identiques, les médias, les politiciens et les associations bien-pensantes réagissent avec la même indignation à géométrie variable. De plus, je me pose la question suivante: Lorsque le Hamas fait pleuvoir des roquettes (800 pour 2012), personne ne réclame de cessez-le-feu. Mais lorsqu'Israël réplique, tout le monde s'entend pour en réclamer un. De toute façon, des trèves entre le Hamas et Israël, il y en a déjà eu, mais elles ont toutes été brisées par le Hamas dès qu'il avait réassemblé ses moyens...

    Quant aux bombardements de Tsahal, Israël fait preuve d'une grande précision car pour les 1000 missions jusqu'à ce jour, on ne décompte que 69 morts (dont des terroristes). Belle preuve de retenue.

    Et puis les images et films que nos médias nous servent sans discernement, comme par hasard tout de Gaza et rarement d'Israël, n'oubliez pas que tout est filmé par des caméramen palestiniens qui adorent faire de la mise en scène (cfr l'affaire Al-Durah) ou ré-utiliser des vielles photos http://jssnews.com/2012/11/18/alj-ora/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+JSSNews+%28JSS+News%29

    Sur ce, chers lecteurs avertis, je vous souhaite beaucoup de plaisir de recherche de la vérité en ces temps mouvementés.

    Tijl

    3008

     


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  • Obama va visiter le Myanmar (Birmanie). Pourquoi Diieu le Myanmar ? M'est avis qu'il veut se porter au secours de la minorité des Rohingyas, ses frères musulmans qui se font tailler des croupières par les autorités depuis qu'ils ont tenté de semer des troubles dans ce pays. Les musulmans terrorisent déjà la Thaïlande en tuant des moines bouddhistes et en brûlant des temples. Même stratégie partout dans le monde. Combien de dollars Obama va-t-il offrir pour que le gouvernement birman mette la pédale douce sur les musulmans ? Quelles menaces pourrait-il utiliser ? On ne le saura jamais exactement, mais on verra bien ça à l'attitude du gouvernement birman après le passage d'Hussein Obama.

    Tijl

    Obama veut visiter le Myanmar. Le Myanmar ? Tiens tiens !



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  • L’esclavage en terre d’islam
    Malek CHEBEL, Fayard éditeur

    Au terme d’une longue enquête, Malek Chebel dresse un constat accablant : l’esclavage a été et reste un fait musulman.

    (…) Ce n’est pas le vocabulaire qui manque en terre d’Islam pour parler de
    l’esclavage. Cette richesse sémantique tranche avec le mutisme qui entoure le phénomène. Un mutisme d’autant plus choquant, aux yeux de Malek Chebel, que l’esclavage a pris des dimensions considérables tout au long de l’histoire de cette région du monde et qu’il reste très présent dans le quotidien de centaines de millions de gens.

    C’est pour briser ce silence assourdissant que l’anthropologue algérien s’est livré à une longue enquête. Le constat final est accablant : «À Brunei, au Yémen, dans les pays du Sahel, chez les Touaregs, en Libye, dans le Sahel tunisien, en Égypte, en Arabie, en Mésopotamie, au Soudan ou à Djibouti, il n’est pas un lieu gagné par l’islam où ne se soit jamais pratiqué le commerce d’esclaves.» (…)

    Une bonne part de la main-d’œuvre servile utilisée dans le monde arabe venait d’Afrique subsaharienne – en Tunisie, le même mot, abîd, désigne indistinctement l’esclave et le Noir… – et tout particulièrement du Sahel, de l’Éthiopie ainsi que de la côte orientale du continent. Mais les Balkans et les steppes de l’Asie centrale furent également d’importants bassins pourvoyeurs.

    Combien furent-ils ? Malek Chebel estime à plus de 20 millions le « volume total de l’esclavage en terres arabes et musulmanes ». Ce nombre englobe aussi bien les captifs de guerre slaves, les concubines et les domestiques circassiennes, que les domestiques noirs achetés à des négriers ou razziés dans les villages du Sahel, les marins chrétiens capturés par les corsaires barbaresques en Méditerranée.

    Les négriers arabes auraient donc fait «mieux» que leurs homologues européens. Les uns ont, il est vrai, sévi pendant quatorze siècles, contre moins de quatre pour les autres.

    Faut-il chercher dans le Coran la cause du mal ? Le livre, certes, accepte que la condition de sujétion des esclaves par rapport aux maîtres soit maintenue en l’état, car l’islam est né dans une région du monde où l’esclavage était quasiment un mode de production.(…)

    Vivement encouragé en théorie, l’affranchissement n’a guère été suivi en pratique. De siècle en siècle, l’esclavage est devenu un fait musulman, s’inscrivant profondément dans les habitudes. Pourtant, c’est un sujet dont on ne parle pas. (…)

    Le pire est peut-être dans l’impact que l’esclavage a eu sur les mœurs politiques du monde arabe. Dans un livre récent, l’universitaire marocain Mohammed Ennaji explique en quoi il a fondé le rapport au pouvoir et donc l’absolutisme qui est encore souvent la règle dans cette partie du monde.

    Une fois le livre de Malek Chebel – dont, curieusement, les médias ont peu parlé – fermé, on ne voit plus la civilisation islamique de la même façon.

    Lire aussi:

    - Jacques Heers, l’esclavage musulman, réédité en Poche prof à la Sorbonne !
    - Pétré-Grenouilleau, qui avait subi les foudres de la bien-pensance !!!!

    Voilà donc encore une facette de cette "religion d'amour et de paix" que nos médias se gardent bien d'éclairer. Beaucoup de Philippins (entre autresq) qui ont travaillé des années comme gens de maison ou comme au-pairs en Arabie Séoudite, à Dubaï ou ailleurs en Arabie, qu'on ne paiera qu'en fin de contrat, dont on a confisqué les passe-ports et à qui on interdit de pratiquer leur religion (chrétienne) sous peine de mort, en ont déjà fait les frais. Au terme de leur contrat on les retient de force, soit on les accuse d'un quelconque méfait pour les expulser du pays, salaire confisqué. Soit elles ont été violées par un de leurs maîtres, et alors elles disparaissent ou on les juge parce qu'elles auraient provoqué l'homme... La situation est telle que les autorités philippines interdisent désormais à leurs ressortisant(e)s d'aller travailler dans ces pays. On peut également dire que les ouvriers qui y travaillent sur les grands chantiers ne sont pas traîtés bien mieux, et les trucs pour ne pas payer en fin de contrat abondent aussi... Et puis, ne voilà-t-il pas que l'esclavage sexuel revient au goût du jour, avec moultes explications d'imâms de toutes sortes sur les bienfaits d'une telle mesure... http://www.ndf.fr/international/27-07-2012/une-autorite-feminine-islamique-favorable-a-lesclavage-sexuel

    Vraiment, avec l'esclavage persistant et latent, et de telles conditions de la femme en islam, que font les féministes? Ou sont passés tous ces droits de l’hommistes et autres bobos bien-pensants qui aiment tant manifester contre Israël ? Voici le sort qui attend les femmes mais aussi les hommes en Occident si nos gouvernements persévèrent dans leur lâcheté vis à vis de l’islam et de ses defenseurs. D'ailleurs, notre futur statut d"'inférieurs" dans la société musulmane porte déjà un nom: dhimmi.

    Tijl

    Si les Européens on pratiqué l'esclavagisme, ils l'ont aussi aboli, contrairement à d'autres...

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