Les faits:

Le Centre International de Recherches des Femmes estime qu’il existe 51 millions de “fillettes fiancées” dans le monde, pour la plupart en pays musulmans. 30% de ces petites fiancées sont battues par leur mari. 90% sont violées régulièrement. Tous les ans, 3 millions de ces ...fillettes musulmanes sont soumises à des mutilations.

."...Or, dans un article virulent, Madame Al Ashmawi présentait aux lecteurs de la Tribune de Genève sa conviction que l’islam, dès ses origines, assure la promotion de la femme… Cette enseignante à l’Université de Genève se croit obligée, pour développer sa démonstration, de s’en prendre systématiquement à l’Occident chrétien, qui - selon elle - est plongé dans l’obscurantisme, alors que la civilisation islamique brille de toutes ses lumières. Ainsi, du VIIe au XIXe siècle, la femme serait pleinement considérée et promue en islam, tandis qu’elle serait méprisée et opprimée en chrétienté.

Evidemment, cette incantation ne résiste pas à un examen historique sérieux. Le Moyen-Age chrétien est justement la période qui instaure durablement des codes de prise en considération de la femme, c’est le développement de l’amour courtois, la dévotion à la Vierge appelée « Notre-Dame » comme image de la femme que l’on respecte. Dans le même temps, là où règne le Coran, les harems sont peuplés de pauvres fillettes et jeunes femmes chrétiennes capturées en masse lors de razzias dans les villes et les villages d’Europe centrale, d’Orient ou de Méditerranée et c'est aussi la mise en place, dans toute l’Afrique, des filières de cette horrible traite négrière initiée par les Arabo-Musulmans dès le VIIème siècle.

Mme Al Ashmawi relativise aussi les situations socio-économiques qui font que certaines populations musulmanes actuelles sont foncièrement illettrées (selon rapport indépendant onusien), en citant l’écrivain Shirin Ebadi qui affirme, concernant les femmes :  « mon problème, ce n’est pas l’islam, c’est la société patriarcale ».

Le son de cloche est tout différent chez Taslima Nasreen, célèbre pour son combat en faveur de la dignité des femmes, qui affirme quant à elle, exactement le contraire de Mme Al Ashmawi : « le problème, ce n’est pas l’intégrisme, c’est l’islam lui-même ! La situation déplorable des femmes dans le monde islamique est la conséquence logique des principes misogynes qui sont parsemés dans tout le Coran, les Hadith et la charia : une femme est considérée comme un être inférieur dans tous les sens du terme ». Rappelons que Taslima Nasreen est venue s’exiler en Europe en raison de menaces de mort dans son pays."

Extraits de:
Alain René Arbez, prêtre
http://www.drzz.info/article-islam-et-statut-de-la-femme-par-alain-rene-arbez-pretre-54639145.html

Je le dis et le répète, ce sont les femmes qui ont le plus à perdre, et de loin, avec l'introduction de l'islam et de la charia dans nos sociétés démocratiques et civilisées. C'est pour ça que j'attends, que j'espère, que je prie pour une réaction claire et unanime des femmes politiciennes/présidentes/etc..., tous partis (et nationalités) confondus, contre cette religion cruelle, barbare et rétrograde. Malheureusement, je ne les ai pas encore fort entendues, ça m'étonne et ça m'inquiète. Pour tout dire, la première que j'entendrais chercher des excuses, des explications ou des justifications pro-islam/voile/etc..., je la traîterai personnellement de folle à lier, d'ignorante, de cinglée ou de tarée,... je me réserve le bon choix, selon mon humeur.

Madame Milquet, en introduisant une femme voilée au Parlement, vous nous démontrez que vous approuvez l'islam et la charia, mais qu'en plus vous soutenez cette religion, ce qui n'est absolument pas le rôle d'un parti politique. Comme promis, je vous laisse le choix du nom d'oiseau que je vous enverrai à la tête.