• Même là où on les respecte, ils ne savent pas respecter...

    Plusieurs événements se sont déroulés ces derniers jours impliquant des arabes « israéliens » et présentés comme n’ayant aucun lien entre eux.
    Une meute d’arabes composée d’une quinzaine d’individus agresse à la sortie d’un hôpital à Haiffa deux soldats qui s’y rendaient pour des soins. Les arabes les frappent avec des bâtons et barres de fer, gravent au cutter le mot chien sur le crâne de l’un des soldats. Un véritable lynchage de barbares déchainés qui n’a pris fin qu’avec l’arrivée des services de sécurité de l’hôpital. Et cela se passe dans cette Haiffa que l’on désignait comme « Haiffa la Rouge ». Une ville où en 1948, les parents de ces arabes recevaient des tracts leur demandant de rester et de construire ensemble un avenir harmonieux de coexistence ! Une ville où la gauche israélienne a tout fait pour mélanger les populations et pratiquer la « discrimination positive ». Une ville où l’on ne chante plus la Hatikvah à l’Université pour ne pas heurter la sensibilité de ces squatters arabes. Une ville où les arabes ont bénéficié de logements sociaux, de travaux municipaux, d’assistance sociale et de tous les droits civiques. Une ville qui devait être le modèle d’une sereine vie commune. Comme à Akko avant le pogrome récent où furent incendiées des habitations juives. Coexistence !!
    Le Mont des Oliviers…
    Dans le même temps, une délégation de juifs américains est venue se plaindre à la Knesseth auprès de la Commission d’Alya, d’intégration et des liens avec les Communautés de Diaspora présidée par M. Dany Danone.
    La plainte concernait la situation sur le Mont des Oliviers où existe un des plus anciens cimetières juifs du monde. Les pierres tombales avaient servi sous l’occupation des Transjordaniens à l’édification d’édicules et le cimetière a été saccagé. On ne peut que constater aujourd‘hui que les juifs désireux de se rendre sur les tombes des disparus doivent prendre une escorte armée car l’insécurité y est totale. Les habitants du quartier jouxtant le cimetière ont pris l’habitude de vandaliser les pierres, briser les stèles mortuaires et profaner les sépultures. Les élèves de l’école arabe de Ras El Amoud ont pour jeu préféré la lapidation des voitures de Juifs traversant ce quartier. Si une telle situation avait prévalue dans n’importe quel pays européen, si des tombes étaient profanées, les protestations auraient fusé mais à Jérusalem ni Tsahal ni la police ne mettent un terme à ces exactions.
    Le Mufti…
    C’est de manière routinière que le Mufti de Jérusalem dans la droite ligne de ses prédécesseurs et du premier d’entre eux, le collaborateur d’Hitler, continue de lancer ses imprécations, appeler au meurtre des Juifs et inciter aux émeutes en propageant mensonges et calomnies. Il reste en fonction sans intervention des services judiciaires de notre Etat.
    Dans la douleur, le peuple juif commémore l’assassinât il y a un an de la famille Fogel à Itamar. L’animal sanguinaire qui a commis ces meurtres a déclaré être « fier d’avoir égorgé un bébé juif ». Il ira en prison pour y recevoir des conditions d’un hôtel étoilé, aura une rue à son nom chez les modérés de Ramallah et attendra le prochain échange de prisonniers. La peine capitale n’avait pas été requise.
    Hatikvah…
    Un autre incident a retenu l’attention. Lors de la cérémonie de départ enfin réalisé de Dorith Beinish de son poste de présidente de la Cour Suprême d’Israël, fut chantée la Hatikvah. Le juge arabe qui siège à la Cour Suprême ne l’a pas chantée. Il est vrai que cela n’aurait aucun sens pour un arabe de chanter la volonté de l’âme juive à retrouver la terre ancestrale. Je comprends qu’il ne chante pas mon hymne national mais ce que je ne peux comprendre c’est la nomination à un tel poste d’un arabe qui ne pourra jamais réciter mon hymne ni embrasser mon drapeau avec l’étoile de David.
    Le problème est souligné par les représentants officiels des arabes. Les élus à la Knesseth de ces arabes « israéliens », ont participé à la conférence internationale de Doha sur la judaïsation de Jérusalem. Les négationnistes arabes menés par Mahmoud Abbas ont décrété que les Juifs n’avaient aucun lien avec Jérusalem et détruisaient les lieux saints musulmans. Les propagandistes nazis à la Goebbels étaient des enfants de chœur comparés aux Ahmed Tibi, Zouabi et compagnie. Les arabes élisent leurs représentants et ne cachent donc pas leurs sentiments à l’égard du peuple et de l’état Juif.
    On peut continuer à fermer les yeux et il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. La première réaction de la police à Haiffa fut de prétendre que ce lynchage était l’effet de hooligans. Ce n’est que le lendemain, que devant les violentes insultes antisémites, il fut déclaré que l’agression avait pour cause la haine.
    La police de Jérusalem avait déclaré de même que les émeutes sur notre Mont du temple avaient été causées par la volonté de certains Juifs « extrémistes » d’aller prier sur l’emplacement de nos Temples.
    Une cinquième colonne…
    Combien de temps continuerons-nous à apaiser au prix de nos sacrifices en vie, en sécurité et en terres, l’ennemi arabe ? Combien de temps pourrons-nous encore contrôler cette cinquième colonne intérieure qui a trouvé ses collabos dans notre extrême gauche ?
    Il n’est que temps de regarder la réalité en face. Nous ne pourrons pas vivre avec les arabes dans nos frontières. Pas plus que les français n’ont pu continuer à vivre en Afrique du Nord. Ils furent « rapatriés ». C’est ce que nous devons proposer aux arabes qui squattent notre pays : un « rapatriement » dans leurs pays d’origine depuis l’Egypte, la Syrie, le Liban, l’Irak …d’où les Juifs furent expulsés en abandonnant demeures, commerces et richesses. En somme un échange de population trop tardif mais toujours juste et indispensable.
    Et surtout lors du prochain conflit, cessons de leur demander de rester. La Gauche intellectuelle devrait être satisfaite. C’est au nom du « chacun chez soi » qu’ils ont regardé avec délectation et emplis de cette haine de soi qui les caractérise, le déracinement des Juifs du Gouch Katif. Ce qui est valable pour le Gouch Katif ne le serait pas pour Akko, Haiffa et Oum El Fahm ?
    Quand on sème les compromissions et les auto-flagellations, on récolte les Fleurs du Mal…arabe.

    Jacques Kupfer


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