L'affaire Thilo Sarrazin, ancien co-directeur de le Bundesbank, économiste renommé et respecté, secoue toute l'Allemagne. Quoique ce soit plutôt et surtout son livre dont l'analyse pointue et chiffrée, de la situation économique du pays, démontre et commente le poids néfaste de l'immigration sur l'économie d'un pays, en l'occurence l'Allemagne, mais qui est évidemment transposable à d'autres pays, a fortiori à ceux qui subissent une immigration sauvage. Ce livre est en train de provoquer un véritable tsunami politique car les chiffres sont accablants et donc très "politiquement INcorrects".

Ce n'est pas la qualité du livre qui m'intéresse, car venant de l'éminent et très sérieux Mr. Sarrazin il sera inattaquable, mais la polémique qu'il soulève en Allemagne. D'un côté, les réactions populaires, les commentaires de la rue, les e-mails de soutien, qui non seulement approuvent à plus de 90% les conclusions de Mr.Sarrazin, mais souvent estiment qu'il est plutôt sage et un paquet d'autres trouvent qu'il ne va pas assez loin... De l'autre côté, il y a l'establishment économique et politique qui pousse des cris d'orfaie, le sacro-saint politiquement correct a été réduit en miettes par Mr.Sarrazin, et comme ce monsieur fait partie de cet establishment, "ça la fout d'autant plus mal".

Subitement Der Spiegel sort les résultats d'un sondage selon lequel 2/3 des Allemands désapprouveraient Mr.Sarrazin, mais qui ne peut cacher que 31% sont d'accord. La meute des journaux allemands, le centre-droit  Frankfurter Allgemeine Zeitung, le gauchisant Die Tageszeitung, le conservatif Die Welt, et le centre-gauche Süddeutsche Zeitung, se jette aussi dans la mêlée pour crier haro sur le messager, c'est un raciste, un xénophobe, etc... mais personne n'ose s'attaquer aux chiffres et les conclusions incontestables qu'il entraîne.

Le pays se divise donc, la population, les gens de la rue, face aux médias, aux politiciens et aux grands partis. On peut déjà en tirer quelques conclusions intéressantes: les médias n'informent plus mais font la propgande de l'establishment, et surtout que les grands partis politiques sont bel et bien déconnectés des électeurs qu'ils sont supposés représenter.

Curieusement, en France, en Belgique et certainement en Hollande, les médias se taisent... Combien de temps vont-ils garder le silence ? Et comment vont-ils présenter les faits quand le moment sera venu ? Verrons-nous la même crevasse ou opposition entre les citoyens "résistants" et l'establishment "collabo" chez nous ? Le "Propaganda Abteilung" de nos médias et des partis fera tout pour l'éviter mais pour combien de temps encore ?  A suivre donc...  

Un culte qui glorifie l'intolérance, la haine, le mensonge, la violence et le meurtre attirera sans problèmes les masses des êtres les plus primaires et incivilisés de la société, car non seulement elle cautionne leurs comportements mais leur donne même une raison d'être, alors ces pauvres d'esprit sont littéralement hypnotisés, gobant tout et prêts à n'importe quoi.

Notre société moderne et sophistiquée est bien trop candide et donc désarmée face à ce phénomène non de progrès, mais de régression de la civilisation. En effet, on nous a toujours appris à être respectueux et ouverts, et nous le sommes, mais jusqu'à l'absurde car ici il n'y a aucune réciprocité, et notre ouverture est abusée. Allons-nous réagir ? A voir l'islamophilie béate de nos politichiens et la propagande pro-islam dans nos médias, on peut en douter, fortement même. Alors, comme pour escamoter voire justifier cette attitude servile, on ressort un truc vieux comme le monde, on focalise l'attention sur Israël et les juifs, véritables boucs émissaires légendaires qui, quoi qu'ils fassent ou disent, sont éternellement coupables de tous les maux. Ils ont de tous temps été utilisés pour cacher l'impuissance, l'apathie ou l'incapacité de dirigeants face aux maux et leurs raisons profondes.

Mais cette fois-ci ça va plus loin, car l'occident semble être prêt a immoler Israël et les juifs sur l'autel de l'apaisement (en 1939 c'était la Tchécoslovaquie), on va les jeter en proie aux lions, et pourquoi ? Ca ne servira à rien. Si Israel et les juifs disparaissaient du jour au lendemain, croyez-vous vraiment que cela changerait l'attitude des musulmans ? Que chez nous ils laisseraient tomber leurs exigences (l'introduction de la charia, le niqab, le hijab, le halal, les minarets, enlèvement de signes d'autres  religions, etc...), que les voyous arrêteraient leurs agressions et déprédations, que la jeunesse musulmane perdrait subitement son arrogance et son agressivité ? Croyez-vous que cela arrêterait le terrorisme international, les bombes au Pakistan, en Inde, les tueries en Algérie, la persécution des chrétiens en Egypte et ailleurs, les fusillades et exécutions entre le Fatah et le Hamas, les bombes entre les Chiites et les Sunnites, l'hégémonie avouée des Iraniens dans le Golfe, etc...? Si vous êtes honnête, vous savez bien que ça ne changera rien et que dès lors, Israel n'est pas la raison, mais un prétexte.

A propos de bouc émissaire, avez-vous constaté que les pays arabes qui assènent le plus intensément le slogan de haine d'Israël sur leurs populations sont comme par hasard ceux qui ont le plus de problèmes de pauvreté, d'instabilité politique ou économique ? Les pays relativement stables et/ou riches sont nettement plus silencieux et moins va-t-en guerre. Certains ont même des accords tacites ou officieux, parfois de longue date, avec Israël car ils savent Israel non-belliqueux et fiable dans ses promesses. Les exemples abondent: la Jordanie et l'Egypte comme voisins directs, puis l'Arabie Séoudite, des états du Golfe et plein d'autres. Le Liban faisait partie de cette liste, mais sous l'influence de la Syrie et depuis l'avènement du Hezbollah les choses ont bien changé. La Turquie aussi était très amie, les armées s'entraînaient mutuellement, mais l'islamiste Erdogan qui craint de ne pas se faire réélire, a opéré un virage à 180°...    

Car pour l'islam, Israël a une double utilité, d'abord comme prétexte, puis comme test. Beaucoup on déjà compris que notre degré de résistance à l'islam sera mesuré à la résolution que nous montrerons dans la défense d'israel contre ses ennemis, et pour l'instant ce n'est franchement pas brillant, au contraire, on les encourage. Or s'il est un pays au Moyen Orient qui ressemble le plus aux nations européennes, c'est bien Israël. Un tout petit pays évolué de 7,5 millions d'habitants, pas plus grand que la Lorraine, qui n'a pas de volontés hégémoniques sur la région et n'est donc pas un danger pour ses voisins mêmes belliqueux, qui est la seule véritable démocratie dans la région, avec des élections libres à plusieurs partis, qui permet la co-habitation pacifique et la pratique de plusieurs religions (christianisme, judaïsme, islam, bahaï,...), qui intègre plusieurs nationalités et communautés dont une large communauté musulmane (1,5 million) jouissant d'une entière libre circulation (et dont certains combattent dans l'armée israélienne!), dont les universités et centres de recherche font l'admiration du monde, qui participe systématiquement à toutes les opérations de sauvetage et humanitaires dans le monde, etc...  

Donc, que les pays arabes interdisent tous formellement la présence et même le passage de ressortissants israéliens sur leur territoires et se veulent donc "Judenrein", que l'islam ne supporte pas la présence ni l'idée de ce pays, qu'il veuille sa destruction totale par tous les moyens possibles, qu'il désire ouvertement le génocide des juifs, devrait nous ouvrir les yeux tout grand. Car après Israël, c'est l'Europe qui est sur la liste...

A bon entendeur !  

Vous souvenez-vous de ce juge de la Cour de l’Ontario (Canada), qui a ordonné en 2006 le retrait d’un sapin de Noël du hall d’entrée d’un palais de justice de Toronto parce que, selon elle, ce symbole risquait d’offenser des non-chrétiens ? Vous rappelez-vous également de cet autre juge, italien celui-là, qui a ordonné en octobre 2003 le retrait d’un crucifix dans une salle de classe d’une école primaire d’Ofena, car « la présence du crucifix dans les salles de classe véhicule l’adhésion implicite à des valeurs qui ne sont pas en réalité l’héritage commun de tous les citoyens » ? Vous n'avez pas oublié cette directrice d’une école maternelle du nord de l’Angleterre qui en mars 2003, avait interdit l’histoire des Trois petits cochons « pour ne pas offenser les élèves musulmans» ?

Une association maghrébine parisienne, Paris-Beurs-Cités, a adressé il y a une dizaine de jours une lettre à la mairie de Parisafin de demander que soient "...progressivement supprimées des devantures des pharmacies les enseignes en forme de croix"..."ce symbole religieux ostentatoire, vestige d’une époque révolue où la religion catholique était omniprésente dans notre pays" est susceptible de "heurter la susceptibilité des croyants non chrétiens..." et plus grave "Alors que la crise économique accroît les risques d’affrontements intercommunautaires, ces enseignes à forte connotation religieuse pourraient être ressenties par certains comme une forme de discrimination, voire comme une provocation".  Mais ce n'est pas tout, le plus grave est que la demande pourrait bien aboutir si l’on en croit la réponse officielle de la conseillère technique qui indique qu’elle va soumettre la demande à Bertrand Delanoë qui "est très attentif à la bonne entente entre communautés" et qu’il est "pleinement conscient du caractère néfaste de certains anachronismes".

Rassurez-vous, le paragraphe ci-dessus n'était qu'un poisson d'avil en 2009 sur www.drzz.info, sauf que:

Un message Internet publié en juillet a lancé un ultimatum mortel aux pharmaciens. En effet, un récent post publié sur le web met en garde les pharmacies du Maroc à propos de l’affichage de symboles en forme de croix. Un mouvement autoproclamé “partisans d’al-Qaida et du djihad” a donné aux pharmaciens marocains un mois pour retirer les symboles de la croix de la devanture de leurs magasins, sous peine de décapitation.

La réalité rattrappe la fiction !

Je me demande quand-même ce que serait la réponse de nos courageux édiles en France ou en Belgique si un groupe inconnu auto-proclamé de jeunes-sait-qui maghrébins exprimait le même caprice, néanmoins agrémenté de menaces à peine voilées, et s'ils s'inquièteraient d'exaucer leur voeu ? Car lorsqu'il y a menace, voilée ou pas, on sait qu'il n'en faut pas plus comme justification aux excités de service pour se sentir "provoqués" et pour semer à nouveau de la casse. Comme incitation à la violence, on ne peut mieux faire, et heureusement c'est punissable, quoique... Il n'empêche, quelle moquerie ce serait d'accéder à une telle demande, car dès lors, jusqu'où irions-nous ? Il faudra bientôt effacer les croix sur les boîtes de secours ? A quand l'enlèvement des croix dans nos cimetières ? A quand la destruction des églises ou leur transformation en mosquées, passe-temps favori des islamistes.

Par paresse, lâcheté ou incompétence, (ou électoralisme) notre société (ou nos politiciens) est devenue incroyablement permissive et laxiste, (ou accomodante)  mais rassurez-vous, il y aura toujours une certaine intelligentsia pour trouver mille et unes explications pour justifier voire rebaptiser cette décadence morale et notre apathie (et la collaboration servile des partis).

Une fois n'est pas coutume, mais lorsqu'on m'a signalé cet article de Patrick Lagacé, j'ai arrêté d'écrire le mien, je n'aurais pas fait mieux ni mieux dit. Alors voilà:

"Avant de parler de la catastrophe au Pakistan, j'aimerais vous entretenir de cette merveilleuse machine à tuer qu'est le F-16. Vous savez ce qu'est un F-16 ?  C'est un des avions de chasse les plus populaires du monde.  Combien coûte un F-16 ?  Autour de 40 millions de dollars l'unité.  Bien sûr, pendant sa vie utile, l'appareil coûtera une fois et demie le prix d'achat en entretien, en réparations (et en lave-glace, c'est fou le prix du bidon de lave-glace pour ces joujoux).

Donc, parlons de la catastrophe au Pakistan. Terrible. S'il ne s'agissait pas d'un pays musulman, on pourrait parler d'inondations de calibre biblique: 20 millions de sinistrés. Épouvantable. Et, depuis deux ou trois jours, on entend des voix s'élever contre le manque de générosité de l'Occident envers le Pakistan éprouvé. Au Canada, en France, en Grande-Bretagne: le public se fait tirer l'oreille. Dans La Presse, hier, ma collègue Marie-Claude Malboeuf rapportait qu'à peine 200 000$ avaient été récoltés pour le Pakistan par une coalition humanitaire. Dans les mêmes délais, après le séisme haïtien, on avait récolté 18 fois plus. Les ONG tapent du pied. S'impatientent. Crient à la catastrophe et au choléra. Le plus tragique, c'est qu'elles ont probablement raison. À l'échelle internationale, l'ONU n'a récolté que 40% des 460 millions requis pour l'aide d'urgence. Le vice-premier ministre britannique, Nick Clegg, a fustigé la communauté internationale pour sa pingrerie: «La réponse de la communauté internationale a été lamentable.»

Mais je m'éloigne. Je vous parlais de F-16. Tout récemment, un pays s'est doté d'une flotte toute neuve d'une vingtaine de ces merveilleux tueurs de l'air. Quel pays, donc ? Eh oui, le Pakistan. Avant d'aller plus loin, je vous préviens: c'est un naïf qui écrit cette chronique. Un naïf qui s'assume. Un naïf qui pose cette question: si le Pakistan avait tout récemment 1,4 milliard pour acheter des avions de chasse à Lockheed, pourquoi le Pakistan n'a-t-il pas 460 millions de dollars à consacrer à ses propres citoyens détrempés ? Je demande pardon à la Croix-Rouge, à CARE, à Oxfam et aux autres ONG, mais je ne donnerai pas une cenne pour les efforts humanitaires au Pakistan. Je ne donnerai pas un centime pour le Pakistan parce que le Pakistan n'a jamais de problème à acheter, ou à se faire financer, du matériel militaire. Je veux bien donner pour Haïti, petit pays qui n'a rien (hormis des dirigeants corrompus). Je veux bien donner à l'Afrique, c'est la moindre des choses.

Je ne donnerai (donc) pas pour le Pakistan comme je ne donnerai pas pour les pêcheurs de La Nouvelle-Orléans qui sont privés d'un gagne-pain depuis la fuite de pétrole causée par BP dans le golfe du Mexique. Le chanteur Zachary Richard est sur le point d'enregistrer, avec plusieurs artistes québécois, un CD dont les profits seront distribués aux pêcheurs de La Nouvelle-Orléans. Il y aura ensuite un concert-bénéfice. C'est très bien, les concerts-bénéfice. C'est très bien, la charité musicale. Et je sympathise avec les pêcheurs de La Nouvelle-Orléans. Mais, et c'est encore un naïf qui parle, je me demande pourquoi je devrais donner un sou aux habitants du pays le plus riche de l'histoire de l'humanité, dont le gagne-pain a été saccagé par une giga-multinationale jouissant d'une capitalisation boursière de 120 milliards US au sein d'une des industries - l'énergie - les plus lucratives de la planète. Il me semble que les États-Unis d'Amérique, que BP, que l'industrie de l'énergie ont assez de fric pour dédommager les pêcheurs de La Nouvelle-Orléans et leurs familles et les descendants de leurs familles jusqu'en 2060, au moins.

Mais revenons au Pakistan. Le 19 juillet, le New York Times a publié un papier absolument dévastateur sur la fiscalité dans ce pays. Une fiscalité de république de bananes, où les riches se sont arrangés pour ne pas payer d'impôts. Je ne parle pas de payer peu d'impôts. Je parle de ne pas en payer. Je parle d'un pays où 10 millions de personnes devraient payer de l'impôt, mais où seulement 2,5 millions en paient. Et tout cela est légal. Les riches se sont arrangés, dans ce pays, pour ne pas payer d'impôts. Le Times rapporte que la valeur moyenne - moyenne! - des revenus des parlementaires pakistanais est de ... 900.000 $. Le chef de l'opposition, Nawaz Sharif, un millionnaire, n'a par exemple pas payé d'impôts en 2005, 2006 et 2007. «C'est un système pour élitistes, pour l'élite et par l'élite, dit Riyaz Hussein Naqvi, fonctionnaire pakistanais à la retraite, qui a travaillé comme percepteur d'impôts pendant 38 ans. C'est un système biaisé où le pauvre subventionne le riche». Ce qui n'était pas dans le Times, mais que vous saviez probablement déjà - je sais que vous dévorez les pages internationales des quotidiens -, c'est que le Pakistan possède l'arme nucléaire. En fait, des dizaines de missiles nucléaires.

Donc, si je résume ...  Le Pakistan est une oligarchie qui permet aux riches de ne pas payer d'impôts. Le Pakistan a du fric pour acheter des F-16. Le Pakistan a du fric pour entretenir un arsenal atomique capable de détruire la moitié de la planète ?  Je ne suis pas naïf à ce point-là, le Pakistan a les moyens d'aider son peuple. Je suis un sans coeur, je sais."

Patrick Lagacé

Patrick Lagacé est un journaliste québecois qui publie actuellement des chroniques au journal La Presse De Montreal et anime une émission de télévision hebdomadaire à Télé-Québec au Canada.

Faisons une petite parabole sur la situation actuelle. Vous habitez dans votre vieille maison familiale ancestrale dans une grande propriété que vous entretenez bien, mais vous avez des nouveaux voisins. Deux de ces familles (1) occupent des terrains contigus, mais la troisième (2) s'est carrément installée dans le jardin d'un de vos vieux voisins. Ces voisins récents se sont mis à jeter des pétards (3) dans votre jardin sans s'inquiéter si vos enfants (3a) s'y trouvent ou pas, vous kidnappent régulièrement du personnel (3b), canardent (4) votre maison à la 22-long, pénètrent parfois le jardin ou la maison pour y déféquer ou uriner (5), répandent des mensonges (6) à votre sujet à qui veut l'entendre (7), que vous n'avez pas droit à cette propriété (8), vous insultent ouvertement, encouragent (9) et envoient leurs enfants pour vous harasser (10), vous menacent publiquement vous et toute la famille (11), et veut vous expulser. Vous êtes jusqu'ici toujours arrivé à les éviter et leur résister. Vous leur avez déjà plusieurs fois proposé de discuter à l'amiable, vous leur avez déjà fait des cadeaux (12) en espérant avoir la paix en retour, mais ils ont pris les cadeaux, ne vous ont en fait jamais répondu officiellement, mais les menaces, insultes et pétards ont continué à pleuvoir. La police (13) est bien au courant de la situation mais n'intervient pas auprès de vos voisins, par contre le commissaire (14) vous a averti de ne pas réagir de votre propre initiative. Dernièrement des policiers (15) étaient même chez un de vos autres voisins (16) lorsque celui-ci a canardé (17) votre jardin et tué un de vos jardiniers (18). Donc, la situation ne s'améliore pas mais empire. Or voilà que subitement le nouveau maire (19) vous force à peine poliment de vous asseoir à table avec (seulement) un de vos voisins réticents qui persiste dans ses menaces et son voeu de vous détruire. De plus, ces voisins qui vous accusent d'être le fauteur de troubles dans le quartier, refusent de reconnaître votre titre de propriété et votre droit d'existence, exigent néanmoins que vous reconnaissiez leur droit de propriété sur les terrains voisins, dont la propriété est d'ailleurs incertaine, et ne veulent rien vous donner en échange, même pas la paix. Certains voudraient aller jusqu'à pouvoir s'installer sur votre propriété sans renoncer à leur comportement hostile à votre égard. Quel sont les chances d'aboutir de ces négociations ?

1: Hamas à Gaza, et Fatah au West-Bank
2: Hezbollah au Sud-Liban
3: roquettes  -  3a: civils  -  3b: soldats (e.a.Guilad Shalit)
4: snipers
5: bombes et attentats
6: propagande
7: le monde
8: délégitimation ou anti-sionisme
9: conditionnement anti-juif/Israel
10: attentats suicides
11: les juifs dans le monde
12: restitution de territoires conquis pendant la guerre
13: ONU
14: Ban Ki Moon
15: FINUL au Sud-Liban
16: Hezbollah
17: incident frontalier             
18: Lieut.Col.Dov Harari
19: Obama

La suite:
Le Fatah, le Hamas, le Hezbollah, pourquoi ne veulent-ils pas la paix ? Est la mauvaise question: Pourquoi ont-ils intérêt à rester en guerre ?